1947 Max LANDREAU

Max Landreau
Je me présente, j’ai 88 ans, né à Toulouse le 26 décembre 1927.
C’est en 1947 que je suis entré dans cette famille parachutiste du premier Régiment de hussards parachutistes en Algérie, sous le commandement du colonel De Gastine.
Années 1946, en garnison cette année-là à Constantine, quartier Galliffet
Début 1948, retour en métropole, breveté para en poche numéro 23226 Phillippeville, 7 sauts au total et des milliers de bons souvenirs qui tourner dans ma tête avec un peu de nostalgie tout de même et je l’avoue.
Trois années se passe et un beau jour, je reçois une lettre type circulaire de Monsieur Messmer, alors ministre de la défense qui m’invite à me joindre avec d’autres anciens paras a une réunion d’information qu’ils annoncent comme importante.
Il était bien ce monsieur le ministre, voilà que les conflits algérien lui enlevaient les moniteurs el largueurs donc il avait grand besoin non seulement pour assurer le bon fonctionnement des centres de préparation militaire parachutiste, mais aussi de pouvoir maintenir les programmes de séance de saut d’entretien des unités paras et pour les officiers et sous-officiers d’effectuer au moins un saut dans l’année, condition essentielle pour le maintien de leur solde à l’air
, Et tout cela dans le cadre de la 11e division aéroportée stationnée dans les régions du sud de la France
Pour être en cours, finalement nous nous sommes retrouvés à quatre sélectionné pour assumer L’entraînement des étudiants en majorité bénéficiant du sursis d’incorporation, À la caserne Niel de Toulouse et sous de brevets sur la DZ de Fonsorbes dans le cadre de promotion avec des gens des régions Midi-Pyrénées et autre, a Pau a la BETAP, et pour les unités de région, Des séances de langage en nombre pour tout ce qui est saut d’entretien et de mise à jour.
Sous contrat réserver/ active c’est-à-dire à la fois civile et militaire, nous avons tous les quatre rempli durant 7 année notre mission.
Nous avions au tout début un actif de 7 à 10 sauts en automatique et le grade de brigadier ou de Sergent
Nous avons terminé et obtenu dans le temps, la qualification de moniteur par équivalence des brevets civiles, pour les sauts à ouverture retardé et celle pour être autorisé au largage, à mon actif j’ai totalisé un bon millier de sauts les Trois quarts en retardé et un bon quart en automatique avec les élèves, avec le grade de d’adjudant en passant bien sûr par les écoles d’application des sous officiers de réserve.A la BETAP , l’opportunité D’effectuer des Ouverture retardées au départ de 4000 et 6500 mètres au sein de l’équipe sportive militaire dirigée par le lieutenant Auriol aujourd’hui décédé
C’est alors que repéré par la fédération nationale des parachutistes à Paris, il nous avait été demandé de créer pour Toulouse, un para club, association groupant 3 sections, sportif, prêt militaire et anciens combattants para, au total 300 adhérents. Une aventure nouvelle qui nous avait amené à participer à des sceaux de démonstration avec tracés de fumigènes, un visuel à l’attention du public, dans le cadre de meeting internationaux de l’air souvent organisé en commun avec le salon aéronautique.
Monsieur Messmer je crois satisfait de nos services, nous a récompensé en nous remettons Lacroix de Chevalier à l’ordre du mérite militaire.
Mais ce qu’il faut dire, c’est que nous étions trouvé tous quatre, Imprégner des valeurs de nos régiment réciproque durant notre service militaire, et que le temps entre celui de notre fin d’incorporation et cette fameuse lettre de Monsieur Messmer, rien ne s’était estompé en Nous, Bien au contraire c’est proposition avait ranimée la flamme qui était resté en veilleuse.
Personnellement, j’ai toujours gardé de mon service militaire à Constantine au sein du 1 RHP souvenir tellement fort que lorsque j’en parle à des amis, je récite un texte par cœur plutôt que de raconter.
Conclusion, si cela était À recommencer, je serais partant aussitôt à recommencer, je serais partant aussitôt
Sur la photo ci-dessous a genoux
Max Landreau et ses camarades moniteur volontaire pour cette aventure parachutiste
En 1958, sur la DZ de Fonsorbes À quelques kilomètres de Toulouse, dans le cadre d’une massif séance de saut au départ d’appareil type Hercule les régiment parachutiste dans le cadre de la 11e division , Leurs officiers, souvent officiers et hommes de troupe avait été rassemblés pour effectuer un saut d’entretien, suite à une circulaire du ministère de la défense, relative au conflit algérien. Le général Henri Sauvagnac avait été des nôtres et devait être le premier à sauter.
Je me présente, j’ai 88 ans, né à Toulouse le 26 décembre 1927.
C’est en 1947 que je suis entré dans cette famille parachutiste du premier Régiment de hussards parachutistes en Algérie, sous le commandement du colonel De Gastine.
Années 1946, en garnison cette année-là à Constantine, quartier Galliffet
Début 1948, retour en métropole, breveté para en poche numéro 23226 Phillippeville, 7 sauts au total et des milliers de bons souvenirs qui tourner dans ma tête avec un peu de nostalgie tout de même et je l’avoue.
Trois années se passe et un beau jour, je reçois une lettre type circulaire de Monsieur Messmer, alors ministre de la défense qui m’invite à me joindre avec d’autres anciens paras a une réunion d’information qu’ils annoncent comme importante.
Il était bien ce monsieur le ministre, voilà que les conflits algérien lui enlevaient les moniteurs el largueurs donc il avait grand besoin non seulement pour assurer le bon fonctionnement des centres de préparation militaire parachutiste, mais aussi de pouvoir maintenir les programmes de séance de saut d’entretien des unités paras et pour les officiers et sous-officiers d’effectuer au moins un saut dans l’année, condition essentielle pour le maintien de leur solde à l’air
, Et tout cela dans le cadre de la 11e division aéroportée stationnée dans les régions du sud de la France
Pour être en cours, finalement nous nous sommes retrouvés à quatre sélectionné pour assumer L’entraînement des étudiants en majorité bénéficiant du sursis d’incorporation, À la caserne Niel de Toulouse et sous de brevets sur la DZ de Fonsorbes dans le cadre de promotion avec des gens des régions Midi-Pyrénées et autre, a Pau a la BETAP, et pour les unités de région, Des séances de langage en nombre pour tout ce qui est saut d’entretien et de mise à jour.
Sous contrat réserver/ active c’est-à-dire à la fois civile et militaire, nous avons tous les quatre rempli durant 7 année notre mission.
Nous avions au tout début un actif de 7 à 10 sauts en automatique et le grade de brigadier ou de Sergent
Nous avons terminé et obtenu dans le temps, la qualification de moniteur par équivalence des brevets civiles, pour les sauts à ouverture retardé et celle pour être autorisé au largage, à mon actif j’ai totalisé un bon millier de sauts les Trois quarts en retardé et un bon quart en automatique avec les élèves, avec le grade de d’adjudant en passant bien sûr par les écoles d’application des sous officiers de réserve.A la BETAP , l’opportunité D’effectuer des Ouverture retardées au départ de 4000 et 6500 mètres au sein de l’équipe sportive militaire dirigée par le lieutenant Auriol aujourd’hui décédé
C’est alors que repéré par la fédération nationale des parachutistes à Paris, il nous avait été demandé de créer pour Toulouse, un para club, association groupant 3 sections, sportif, prêt militaire et anciens combattants para, au total 300 adhérents. Une aventure nouvelle qui nous avait amené à participer à des sceaux de démonstration avec tracés de fumigènes, un visuel à l’attention du public, dans le cadre de meeting internationaux de l’air souvent organisé en commun avec le salon aéronautique.
Monsieur Messmer je crois satisfait de nos services, nous a récompensé en nous remettons Lacroix de Chevalier à l’ordre du mérite militaire.
Mais ce qu’il faut dire, c’est que nous étions trouvé tous quatre, Imprégner des valeurs de nos régiment réciproque durant notre service militaire, et que le temps entre celui de notre fin d’incorporation et cette fameuse lettre de Monsieur Messmer, rien ne s’était estompé en Nous, Bien au contraire c’est proposition avait ranimée la flamme qui était resté en veilleuse.
Personnellement, j’ai toujours gardé de mon service militaire à Constantine au sein du 1 RHP souvenir tellement fort que lorsque j’en parle à des amis, je récite un texte par cœur plutôt que de raconter.
Conclusion, si cela était À recommencer, je serais partant aussitôt à recommencer, je serais partant aussitôt
Sur la photo ci-dessous a genoux
Max Landreau et ses camarades moniteur volontaire pour cette aventure parachutiste
En 1958, sur la DZ de Fonsorbes À quelques kilomètres de Toulouse, dans le cadre d’une massif séance de saut au départ d’appareil type Hercule les régiment parachutiste dans le cadre de la 11e division , Leurs officiers, souvent officiers et hommes de troupe avait été rassemblés pour effectuer un saut d’entretien, suite à une circulaire du ministère de la défense, relative au conflit algérien. Le général Henri Sauvagnac avait été des nôtres et devait être le premier à sauter.
Le général Sauvagnac a été le premier à être breveté moniteur militaire parachutiste avec le numéro 1
L’officier responsable de l’opération avait demandé à ce que deux moniteur Ce mettre à la disposition du Général pour l’aider à son équipement, et dans le même temps à haute voix il appela, les moniteurs par leur grade les adjudants Jacques dissiez et Max et Landreau.
Se faisant, Nous échangeâmes quelques mots avec le général. Impressionnant souvenirs et combien sympathique.
À la suite de quoi, je vais eu l’insigne honneur à ce que le général avait pris lui-même la décision de prendre place avec mon stock, Dans le premier avion, donc j’assurais le largage.
Je me dois d’avouer maintenant, il m’avait été impossible de concevoir un seul instant, le général présent à mes côtés à la portière, de lui ordonner à prendre sa position prête au saut.
Je vais de toute manière laisser au général le soin de juger de lui-même le moment qu’il devait choisir pour sauter. Franchement, j’avoue que je ne pouvais concevoir en aucune matière de lui tapé dans le dos en lui criant GO un souvenir précieux.
Les régiments stationner dans le sud de la France dans le cadre de la 11e division parachutiste, Que nous avons eu l’insigne honneur de procéder au largage de toutes leurs sections :
L’officier responsable de l’opération avait demandé à ce que deux moniteur Ce mettre à la disposition du Général pour l’aider à son équipement, et dans le même temps à haute voix il appela, les moniteurs par leur grade les adjudants Jacques dissiez et Max et Landreau.
Se faisant, Nous échangeâmes quelques mots avec le général. Impressionnant souvenirs et combien sympathique.
À la suite de quoi, je vais eu l’insigne honneur à ce que le général avait pris lui-même la décision de prendre place avec mon stock, Dans le premier avion, donc j’assurais le largage.
Je me dois d’avouer maintenant, il m’avait été impossible de concevoir un seul instant, le général présent à mes côtés à la portière, de lui ordonner à prendre sa position prête au saut.
Je vais de toute manière laisser au général le soin de juger de lui-même le moment qu’il devait choisir pour sauter. Franchement, j’avoue que je ne pouvais concevoir en aucune matière de lui tapé dans le dos en lui criant GO un souvenir précieux.
Les régiments stationner dans le sud de la France dans le cadre de la 11e division parachutiste, Que nous avons eu l’insigne honneur de procéder au largage de toutes leurs sections :
1er régiment de chasseurs parachutiste (1er RCP) - Pamiers
3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (3e RPIMa) - Carcassonne
8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (8e RPIMa) - Castres
4e régiment étranger (4e RE) - Castelnaudary (11)
17e régiment du génie parachutiste (17e RGP) - Montauban
31e régiment du génie (31e RG) - Castelsarrasin
35e régiment d'artillerie parachutiste (35e RAP) - Tarbes
1er régiment du train parachutiste (1er RTP) - Cugnaux
3e régiment du matériel (3e RMAT) - Muret
3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (3e RPIMa) - Carcassonne
8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (8e RPIMa) - Castres
4e régiment étranger (4e RE) - Castelnaudary (11)
17e régiment du génie parachutiste (17e RGP) - Montauban
31e régiment du génie (31e RG) - Castelsarrasin
35e régiment d'artillerie parachutiste (35e RAP) - Tarbes
1er régiment du train parachutiste (1er RTP) - Cugnaux
3e régiment du matériel (3e RMAT) - Muret